La semaine dernière, je me soulevais de terre avec facilité et aujourd’hui j’ai l’impression que tout est plus lent et difficile à accomplir.
Mais j’accepte. Et j’observe.
Ça me reconnecte aux cycles qui agissent à travers moi.
Parfois c’est le feu intérieur, parfois le calme plat.
J’accepte le repos (ô miracle !), les journées de travail qui deviennent des journées de rêvasserie, de natation, de dialogues, lecture et yoga…
Ça n’a peut-être pas l’air, dit comme ça, mais c’est la preuve d’un long cheminement dans la connexion à moi et l’acceptation de ce qui est.
Je conclurai par ce que j’ai écrit tout à l’heure à une personne qui me demandait des nouvelles :
Je vais très bien, je prends le temps de vivre et de faire ce que j’aime (travail et perso), et j’expérimente à quel point c’est le plus important.
Toi qui me lis à cet instant, je t’invite à prendre le temps de vivre, et à te reconnecter aux cycliques de la nature et à ta propre cyclicité. Tu verras à quel point les cycles sont des enseignants pour nous !
Lucie